Déclarations

Peut être mais je pense qu'on va gagner

Oui moi je par confiant

Heu non pas gagner, je pense qu'on va pas être relégués.

Non faut pas d'econner lol

Gerard se réjouit aussi

Après Yaya Touré, qui s'était dit content du départ de Laszlo Bölöni, c'est au tour du milieu de terrain espagnole Gerard d'en faire autant. «En changeant de coach, l'ambiance est bien meilleure, a déclaré Gerard. Pour moi, c'est un truc positif. Avec Bölöni, au bout de 2-3 semaines, je n'étais pas très content. Il ne m'a pas donné confiance».Le milieu défensif est au contraire satisafait d'évoluer sous les ordres de Laurent Banide. «Personnellement, avec Lolo, ça va changer ma dynamique, a poursuivi le joueur de 27 ans. J'espère qu'il va me titulariser. Je lui ai dit que j'étais très bien, et maintenant, j'espère apporter à l'équipe». Depuis son arrivée en provenance de Barcelone l'an passé, Gerard, souvent blessé, ne s'est jamais réellement imposé dans l'entrejeu monégasque.

Bin on peut voir d'apré gerard que le depart de boloni c'est mieu

oui ca fait déja 2 jouers content en plus des propos de Monterrubio ca commance a faire beaucoups contre Boloni

Maintenant soit il nous faut un bon remplacent soit il nou faut garder banide

En ce moment êrsonne veut aller a monaco peut comme tu di braga mais bon en regardent leur place au classement mais bon vous allez me dire c'est que le debut de saison ùais bon ya quand meme un probleme dans l'equipe

Oui logique il et parti

Lol alors on va tout de suite exorcicer les joueurs

O oué en lus il été roumain sa du etre dur lol moi javais une prof raoumaine c'été vrement trés dur de la compredre alors on triché mais la les joueurs peuve pas tricher lol

Le povre lolbanide et francais au moin ???

Warmuz s'exprime et dit tout


Guillaume Warmuz, invité de l'émission Europe Sport, sur Europe 1, s'est exprimé sur la situation actuelle de l'ASM. Il livre une analyse sans complaisance, n'élude aucune question et s'inquiète sur la situation de l'ASM. Il pense que le groupe est sain et pense que les Monégasques s'en sortiront par le jeu. L'ASM doit retrouver confiance sur le terrain.



Vous voilà entraîneur des gardiens. Ce n’est pas une fin de carrière que vous annoncez ?

Ca reste ponctuel et à définir. Comme les pros sont partis à Reims puis au vert, avec l’ancien entraîneur des gardiens devenu adjoint, il a fallu trouver une solution dans l’urgence. On m’a dit de rester à Monaco et d’entraîner les gardiens. Moi j’aurai préféré être sur le terrain à Reims. On verra dimanche comment ça continue.

Vous êtes un optimiste de nature. Qu’est ce qui peut nous rendre optimiste avec Monaco en ce moment ?

Ecoutez, c’est une saison qui va être difficile. Elle a très mal commencé. Après dix journées, on est reléguable. Les difficultés sont grandes. On fera un bilan à la trêve.

Comment expliquez-vous les déclarations fracassantes de certains de vos coéquipiers à l’encontre de Bölöni ?

Je ne peux pas vraiment répondre à votre question. Moi, je suis rentré dans le groupe seulement depuis lundi. J’étais en retour de blessure, et j’ai rejoint l’entraînement classique récemment. Je n’ai pas tout vécu de l’intérieur. Je n’ai pas fait la préparation avec l’équipe. Je n’ai pas vécu de l’intérieur l’intimité du groupe. Mais effectivement, il ne faut pas être expert pour voir qu’il y avait un souci. Je me suis rendu bien compte qu’il y avait un problème relationnel avec Bölöni.

Changer l’entraîneur, ça peut changer quelque chose ?

Quand ça va mal, il faut trouver le pourcentage des joueurs avec lesquels le message ne passe plus, et ceux qui se battent encore pour l’entraîneur. Là, l’équilibre était rompu. Un entraîneur est un chef d’orchestre. La question n’est pas seulement s’il est bon, mais s’il les musiciens le suive. Là, l’entraîneur avait certainement une responsabilité majeure. Mais le vrai problème, c’était le pourcentage de joueurs qui ne le suivaient plus.

Monaco est-il encore un grand club ?

On sent que c’est un club prestigieux. Les vrais Monégasques y sont très attachés. Ils ont envie que le club brille. Mais il y a une crise qui perdure à Monaco. Deschamps l’avait éteinte. Elle est revenue avec son départ. La crise est latente depuis plusieurs saisons maintenant. On paye une situation très ancienne.
Là, on est dans un climat de travail difficile. On est dix neuvième, les joueurs viennent d’arriver. Il faut un moment pour se rétablir.

Fallait-il à un club comme Monaco un entraîneur plus expérimenté ?

Laurent Banide, c’est un choix des dirigeants. Fallait-il un entraîneur expérimenté ? C’est une réflexion. On verra à la trêve. Si on est invaincu à la trêve, personne ne se posera plus la question.

Y’a-t-il des soucis de vestiaires ?

Moi je ne vois pas de conflits entre les hommes. Je n’ai pas vu d’affrontements directs. Il y a une identité, des garçons qui ont envie de s’en sortir. Le problème, c’est dans l’approche des rencontres, dans le contenu du match. Il faut qu’on soit présent tout le match, parce que là on s’effondre dès que survient un coup dur. Il faut qu’on parvienne à poser des problèmes à l’adversaire, qu’on réussisse à être plus constant sur le terrain.

Avant le match à Nantes, sentez-vous de la peur à Monaco ?

La peur, elle est là. On ne peut pas l’éviter quand on est en bas du classement. La peur est là. A Nantes, il faut savoir qu’un match nul ne sera pas un mauvais résultat. Il faut enrayer la défaite, ne plus perdre pendant quelques matchs. Ca passe par là.

Banide parle de Nantes

Le nouveau coach de l'ASM parle du déplacement de la peur samedi à la Beaujoire, contre Nantes. Il prône une sortie de crise par le jeu, pour que Monaco retrouve la confiance tout en restant fidèle à ses tradition de beau jeu.


Il faut travailler différemment, avec d'autres orientations psychologiques et on s'en remettra ainsi moins à la chance. Nantes et Monaco sont deux clubs qui ont marqué le foot pendant les belles années, à travers leurs fondations. On doit retrouver nos racines car je pense que les deux équipes ne peuvent s'en sortir que par le jeu. Tout le monde doit faire son auto-critique, repartir sur de nouvelles bases. Chaque changement d'entraîneur entraîne des bouleversements. J'ai sept mois pour orienter mon équipe vers un jeu plus aéré. Samedi, si on perd, dire c'est cuit, c'est fini, non, ça ne va pas. D'ailleurs, même si on gagne, ça ne change rien. On a besoin de trouver rapidement un certain équilibre. Il faut un déclic, un peu de chance, mais on ne se réfugie pas derrière ça.


Source: AFP et Football 365

Sylvain Monsoreau : « De belles choses à faire »

Touché à l'arcade mardi soir à Reims, Sylvain Monsoreau sera bien présent pour le duel contre Nantes. Le défenseur monégasque n'attend qu'une chose : rebondir samedi à La Beaujoire.



L’état d’esprit : « Irréprochable »
Ce n’est pas nouveau, depuis le début de la saison, l’état d’esprit du groupe est irréprochable. Nous sommes solidaires et tout le monde a envie de bien faire.
Même si le résultat et la qualification n’ont pas été au rendez-vous, je pense que nous nous sommes réveillés contre Reims en Coupe de la Ligue. On a su montrer sur le terrain cette envie et cette volonté qui nous animent au quotidien, que ce soit en match ou dans la vie de tous les jours.
Tant que les résultats ne seront pas présents, peu de gens nous croirons mais l’état d’esprit est bien là. Il faut s’appuyer là-dessus, mais aussi sur le vécu, l’expérience et le palmarès des joueurs. Je suis persuadé que l’on a de belles choses à faire avec ce groupe…

Le stage à Pornic : « Un peu de calme »
Cette mise au vert nous apporte un peu de sérénité et de calme après les changements intervenus en début de semaine. On utilise ces quelques jours pour bien récupérer après la débauche d’énergie de mardi soir, mais aussi pour beaucoup discuter entre nous et avec le staff.
On apprend également à connaître les nouvelles méthodes de l’entraîneur. On prend beaucoup de plaisir à vivre tous ensemble, même si ce stage ne sera bénéfique que s’il est suivi d’un résultat à Nantes.

Laurent Banide : « Une vraie philosophie de jeu »
Il a les compétences pour mener à bien le projet de l’ASM. Il montre beaucoup d’envie au jour le jour et possède une connaissance importante du club.
De plus, Laurent Banide est quelqu’un qui possède une vraie philosophie de jeu, avec des notions très intéressantes pour l’équipe. Dès sa prise de fonction, il nous a proposé un projet sur le long terme, à la fois une évolution personnelle et collective. Tout le monde a adhéré à ce discours. Il a aussi l’avantage d’être proche des joueurs. Il faut aller dans son sens et j’estime qu’avec lui, on va retrouver la confiance, le plaisir et la détermination.
Le coach va sans doute nous faire jouer différemment, avec une autre approche. Il est clair que tout ne sera pas rose du jour au lendemain, tout ça prend du temps. Je pense tout de même que nous pourrons repartir très vite sur une phase ascendante.

Le match à Nantes : « Attention aux détails »
C’est évidemment un rendez-vous capital. J’aimerais voir une équipe solidaire, concernée et agressive dans le bon sens du terme. Il faut tout simplement se lâcher.
Je m'attends à un match serré, avec peu de buts. Il faudra d’abord être les plus costauds défensivement mais aussi rester très vigilants sur les détails. Ca risque de se jouer sur un coup de pied arrêté ou sur une erreur d’inattention.
Une chose est sûre, il n’y a pas de peur à avoir. Nous allons jouer dans un très beau stade, avec beaucoup de public : tout est réuni pour se faire plaisir. C’est en effet un élément essentiel à retrouver pour obtenir des résultats.

Les deux équipes se retrouvent dans ces positions car elles n’ont pas eu de résultats depuis le début de saison, il faut l’assumer et tout faire pour s’en sortir. Le gagnant prendra certainement un ascendant psychologique même s’il faut relativiser tout ça. Nous ne sommes qu’à la 10ème journée, il restera encore beaucoup de points à prendre après cette rencontre… Personne ne peut prédire l’avenir et nous savons qu’avec la qualité de l’effectif, avec le travail et l’ambition, on peut encore obtenir des choses. J’ai confiance en cette équipe, j’ai confiance en mes dirigeants et je suis persuadé que le nouveau coach a toutes les compétences pour y arriver. Je sais que nous allons rebondir.

Esperont que contre nantes une victoire

Je pense pas...

On verra on verra...

A la veille d'un match capital, Sylvain Monsoreau, en stage avec le groupe à Pornic, se confie, et nous parle de la rencontre de samedi, face à Nantes, et du changement d'entraîneur. Extrait :


Sylvain Monsoreau, le match face à Nantes revêt-il une importance capitale ?
Si nous ne prenons pas de point, la situation va devenir critique. Nous sommes dans l'obligation de réagir. Maintenant, ce n'est pas en parlant chaque semaine de crise que les problèmes de Monaco vont se régler. Disons que nous ne pouvons pas partir de plus bas et que l'on va essayer d'accélérer cette construction. C'est sûr, nous n'avons pas l'habitude de voir l'ASM dans une telle situation. Assumons pour autant notre classement. Samedi, le gagnant prendra un avantage psychologique sur son adversaire. Avec du travail, de l'abnégation, de l'ambition, on peut ramener quelque chose.

Comment imaginez-vous justement ce match des mal-classés ?
Je pense qu'il n'y aura pas énormément de buts. Ça risque de se jouer sur un rien, sur un coup de pied arrêté. Maintenant, cela reste un match de foot. Il ne faut pas en avoir peur. Nous n'en sommes qu'à la dixième journée. Commençons par gagner les duels, par avoir envie de jouer, de se lâcher. Après, le foot n'est pas une science exacte. Déjà soyons irréprochables dans nos têtes. On réduira le risque d'erreur. Le fait de changer d'entraîneur ne va pas nous faire jouer comme le FC Barcelone! Je ne pense pas que dès ce week-end, on va parvenir à évoluer en une touche de balle, à créer les décalages et mettre hors de portée les Nantais. On ne peut pas nous demander d'être un concurrent de Lyon.

Comment se déroule la vie depuis la nomination de Laurent Banide ?
C'est quelqu'un de proche des joueurs. Tout le monde adhère. On va tout faire pour l'aider. Il nous a proposé un challenge intéressant, il a envie de nous faire jouer au ballon. Avec lui, on a retrouvé de la confiance, du plaisir et de la détermination. Le vestiaire vit bien, seulement, tant que nous n'aurons pas pris de points, il n'y aura pas beaucoup de gens pour nous croire. Maintenant, je ne vais pas vous dire que la méthode Bölöni était en cause. Elle a marché à Rennes. Nous étions tout de même plus acteurs que lui. Vu le palmarès de certains, nous aurions d'ailleurs pu mieux gérer certaines situations. Il ne faut pas penser que les résultats vont venir comme ça, car nous aurons passé quatre jours ensemble. Donnons rendez-vous plus tard à ce groupe.

Déclaration de Roma:

http://asmfoot.org/?rub=breve&id=2715

La maintenant au moin on peut pas descendre plus bas

si en ligue 2 l'année prochaine

http://www.as-monaco.net/news.php?newsid=828

http://www.asmfoot.org/?rub=breve&id=2726

ca fait mal au coeur quand meme meme Givet est abbatu....